1ère cause de maladie professionnelle en France
Avec une augmentation de 20% par an depuis 10 ans, les TMS sont la première cause de reconnaissance de maladie professionnelle.
En France, avec 32 500 maladies professionnelles indemnisées en 2006 et qui ont engendré la perte de 7 millions de journées de travail et 710 millions d'euros de frais, couverts par les cotisations des entreprises.
Pour les TMS des membres supérieurs (les plus nombreux), les facteurs de risques biomécaniques sont les positions angulaires articulaires extrêmes, les efforts excessifs, la répétitivité des gestes, le travail en position statique maintenue.
À noter qu'un temps de récupération insuffisant augmente significativement l'effet des facteurs biomécaniques.
Toutes les professions et toutes les industries
Les TMS touchent presque toutes les professions et des entreprises de toute taille, mais principalement les industries de l'agroalimentaire, de la métallurgie, du bâtiment et des travaux publics.
Notons l'apparition des TMS dans diverses activités de service. Tous les pays industrialisés sont concernés par le phénomène, même les pays dans lesquels des fabrications ont été délocalisées. Les TMS sont bien un enjeu de société.
Pour les TMS des membres supérieurs (les plus nombreux), les facteurs de risques biomécaniques sont les positions angulaires articulaires extrêmes, les efforts excessifs, la répétitivité des gestes, le travail en position statique maintenue.
À noter qu'un temps de récupération insuffisant augmente significativement l'effet des facteurs biomécaniques.
Tout le monde est concerné, et vous aussi…
Si vous ne travaillez pas en usine, ne pensez quand même pas être à l’abri. Sachez même qu’un nombre de plus en plus élevé de personnes sont touchées par ce phénomène, y compris des adolescents encore au collège ou au lycée chez leurs parents…
Comment cela se peut-il ? Tous ceux qui passent de longues heures devant un écran d’ordinateur ou de télévision, pour travailler ou pour jouer peuvent se trouver affectés par ces troubles terriblement invalidants.
Ils ont en commun la manipulation constante d’une souris ou d’une manette de jeu, avec les innombrables clics nécessaires qui entraînent des gestes répétitifs…
La plupart du temps, le problème vient du canal carpien (syndrome du canal carpien) qui donne aussi, pour ceux qui manient plus le crayon que la souris, la fameuse crampe de l’écrivain.
Sachant que :
- les enfants, de plus en plus jeunes, s’adonnent à l’ordinateur, pour travailler et pour jouer, et sont ainsi amenés à des clics en nombre infini, (mal de souris), bien avant le moment de l’entrée dans la vie active
- la population vit de plus en plus longtemps, avec les troubles associés au grand âge, et notamment perte de la sensibilité au niveau des extrémités : crampe de l’écrivain
Faut-il pour autant arrêter l’ordinateur, ou ne plus écrire à la main ?
Quelles solutions ?
Prévenir vaut mieux que guérir, on a beau le savoir, c’est encore mieux quand c’est répété.
Pour éviter la douleur et l’invalidation, il suffit de prendre l’habitude d’utiliser les bons instruments comme le ringpen et l’ergoclick.
Ces 2 produits ont reçu l’aval formel du Professeur Owens, chirurgien australien, la référence en matière de chirurgie de la main, le 1er à avoir réussi une greffe de la main, il y a quelques années, à Lyon (France).
Plus d’info, cliquez ici : www.ergomain.com